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REFLEXIONS au fil du temps
30 mai 2014

jeudi de l'ascension 2014

JEUDI DE L’ASCENSION

 

 

La météo a permis de profiter de la nature déjà très avancée, c’était un demi soleil, Pralognan a vu apparaître les premiers signes de la saison d’été.

 

Ma curiosité m’a conduite vers le pont de la Pêche.

 

J’ai pu constater une situation à laquelle je m’attendais. Tout d’abord, au pont de Gerlon, déja 7 voitures étaient en stationnement, ce qui m’a étonnée.

 

Puis au parking des Prioux 6 voitures, 1 sur la route au niveau du départ du chemin vers le Génépy ou La Valette, 1 au niveau du pont des Anciens, finalement sur le parking du pont de la Pêche 21 voitures. Vers 17 heures il y avait du mouvement.

 

Il ne me restait plus qu’à redescendre pour constater ce que pourraient voir les touristes s’ils revenaient à leur lieu de séjour en choisissant de passer par le centre du village.

 

Un petit arrêt pour surveiller l’état de mes chers sabots de vénus, près du dernier virage, ceux que je peux facilement faire découvrir aux touristes qui les recherchent. En 2011 ils ont été recouverts de branchages que j’ai dû enlever, à deux reprises, puis ils ont fini par être arrachés il ne reste que quelques plans, 3 ou 4, qui ont pu repousser, il y en avait 14. Qui a pu avoir un tel comportement ? je n’en ai toujours pas idée.

 

Au niveau du Prélude je fais une photo de l’état des travaux, pas joyeux, l’entreprise de carrelage est la seule présente, ce jour de congé officiel.

 

Ayant franchi le pont, le spectacle était celui auquel je m’attendais : le désert absolu, il était plus de 18h l’Office du Tourisme était fermé il ne restait que le « I » isolé, affiché pour le signaler. J’enrage par comparaison avec le panneau offensif récemment installé à Bozel.

 

Pralognan affiche son inaction, tous commerces fermés.

 

Alors que les médias mettent l’accent sur les  départs en vacances, de nombreux trains, des encombrements sur les routes, nous sommes tout à fait étrangers à la vie de la France.

 

J’en suis profondément triste, j’ose le dire ,même si cela me fait apparaître comme étant une vieille dame bougonne et me fait rejeter.

 

Comment et quand pourra-t-on redonner vie à Pralognan ? un long travail.

 

M.V.G.

 

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